L’un est un peu virtuose de la guitare mais est surtout naïf et candide. L’autre, doué pour la contrebassine, est d’une mauvaise foi cruelle et assumée. C’est un voyage dans leur folie qu’ils promettent dans ce « concert » déglingué et délirant.
Donner à voir la rue comme un espace rempli d’histoires, se servir de l’humour, de la poésie, de l’improvisation pour embarquer les esprits. Voyager très loin, sans bouger... ou presque.
Un spectacle pour les pédés, les gouines, les bisexuel-les, les transexuel-les, les travesti-es, les prostitué-es, mais où les hétérosexuel-les sont quand même les bienvenu-es. Nous sommes en 1969, à New York, dans un bar gay clandestin qui s’appelle...